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Aviron Bayonnais Football Club

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12 octobre 2011 3 12 /10 /octobre /2011 18:52
L'espoir d'une troisième victoire

Ce soir, l'Aviron Bayonnais entend confirmer ses bons résultats

L'Aviron Bayonnais et Martigues ont au moins ça en commun cette semaine. Après la douzième journée de championnat ce soir, les deux formations feront leur entrée en Coupe de France en fin de semaine chez un proche voisin : l'Aviron à Anglet (CFA 2) et Martigues à Marignane (CFA).

Les deux équipes se sont déjà rencontrées dans le passé. En 2004, les Bayonnais, alors promus en CFA, s'étaient retrouvés dans un groupe « sud-est » qu'ils avaient plus ou moins demandé. Les Martégaux l'avaient emporté à deux reprises (2-0 et 2-1). Ce soir, Alain Pochat et ses hommes devraient croiser la route de Soki N'Zinga, qui a porté les couleurs ciel et blanc il y a deux ans. Le joueur est d'ailleurs devenu un titulaire indiscutable dans le onze provençal et il est auteur de deux buts depuis le début de cette saison. Martigues a déjà disputé six rencontres sur sa pelouse pour un ratio plus que correct (quatre victoires, un nul et une seule défaite) et malgré sa position de promu, occupe une très jolie 7e place au général.

Invaincus sur les quatre dernières journées, les sang et or du Sud sont tombés sur un os vendredi soir à Niort (3-1). Avec un jour de récupération supplémentaire et le voyage en moins, Martigues sera tout de même favori de ce match.

L'offensive a pris ses marques

Mais l'Aviron reste sur deux belles victoires au Red Star et contre Nîmes. Les contours d'une équipe-type commencent à se dessiner tout doucement et les résultats s'enchaînent. Le staf bayonnais se gardera de tout optimisme béat concernant les deux derniers résultats. Les deux matchs qui se profilent pour finir la semaine seront tout aussi importants que les deux derniers joués. Mais la paire Bidegain-Toure derrière semble bien fonctionner depuis quelques semaines. L'animation offensive trouve de plus en plus ses marques devant le duo de récupérateur Elissalde-Lalanne et les entrants en jeu sont prépondérants. Quand on sait que Pinau (en phase de reprise), Matutu (suspendu), Tunani et N'Diaye rongent leur frein actuellement et postuleront de nouveau à la porte, le ciel bayonnais apparaît un peu plus bleu que ce qu'il n'était il y a tout juste quinze jours. L'équilibre d'un groupe reste toujours une donnée fragile. C'est pour cela qu'une troisième victoire de rang ramenée de Provence serait du meilleur effet.

Jakes Debounco - Sud-Ouest (Mercredi 12 Octobre 2011)

Lieu : Stade Francis Turcan.  Horaire :  ce soir à 20 h.  Arbitre :  M. Schmitt

Le groupe bayonnais : Duhour, Lesca - Soubervie, Chort, Degoul, Bidegain, Toure - R. Elissalde, Tunani, Lamothe - Famery, Giron, Serra, Guillou - Audinet, Diafutua

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12 octobre 2011 3 12 /10 /octobre /2011 18:33
12ème journée de National, Martigues reçoit Bayonne

Voilà une belle occasion de franchir la barre symbolique des 20 points ! Une victoire permettrait aux hommes de Jérôme Erceau de renouer avec la victoire et dans le même temps de distancer l’équipe de Bayonne et également d’autres candidats au maintien. Pour cela, il faudra venir à bout des Basques qui ont fait le plein de confiance face à Nîmes en gagnant et en laissant leur place de lanterne rouge. Les Martégaux montrent de belles velléités sur leur pelouse en y présentant le troisième bilan de toute la classe à domicile. Pour le maintien, les Sang et Or savent qu’il faut laisser filer le moins de points lorsqu’ils évoluent à Turcan. Face à Bayonne, un concurrent direct au maintien, Freitas and co devront poursuivre, ce qui permettrait au FCM de s’asseoir sur un matelas confortable par rapport à leur hôte du jour. Le hic, c’est que L’Aviron Bayonnais a remis le bateau à flot et rame enfin dans le bon sens.

Après des débuts, plus que poussifs, les Basques restent sur deux succès de suite. Le premier au Red-Star et le second face à Nîmes, un candidat à l’accession, une victoire qui prouve le retour aux affaires des Aquitains, qui du même coup ont laissé la place de lanterne rouge à Besançon. C’est une équipe en pleine confiance qui débarque dans la Venise provençale. Après son échec à Niort (3-1) – qui a mis fin à une série de quatre matches sans défaite – il n’y a pas de quoi s’alarmer pour Jérôme Erceau : «Sur les deux matches, c’est celui face à Bayonne qui était important. A Niort, qui ne boxe pas dans la même catégorie, nous sommes tombés sur plus fort que nous.» Le tacticien martégal n’oublie pourtant pas que lors du voyage dans les Deux-Sèvres les lacunes défensives sont réapparues. Plus mauvaise défense (19 buts) Erceau cherche toujours la bonne formule dans ses lignes arrières. «Après le mieux aperçu lors des dernières prestations on a montré, une fois de plus, que nous n’avons aucune garantie dans ce domaine.» Legras et De Magalhaes ne sont pas dans le groupe, signe que le bloc défensif martégal va de nouveau être chamboulé. Le FCM cherche toujours la solidité ! Avec Nianzi, il y aussi la présence de Biakolo. Le grand «Biak» est enfin de retour, ce qui en fait un renfort de poids pour le futur. Mais c’est l’avenir proche qui est important car le FCM à l’occasion de mettre à distance Bayonne et aussi la queue de peloton de ce championnat.

L’ADVERSAIRE

Bayonne n’est pas mort ! Bien mal partis, les Basques, terre de rugby, se sont réveillés un peu comme le XV de France. Ils viennent d’inscrire 4 buts (que 3 inscrits lors de 9 premières journées) et sont enfin récompensés dans le jeu, eux qui ont souvent bien joué mais fait preuve d’un gros manque d’efficacité. En plus, les blessés et les suspendus font leur retour. Hormis Teixera et Lalanne absents, Audinet est de retour. Le moral est au beau fixe et les Aquitains ne se prennent pas la tête et avancent petit à petit. Les Bayonnais se prennent même à rêver d’un troisième succès de rang en profitant de leur bonne passe après avoir mangé leur pain noir.

CE MERCREDI A 20H AU STADE FRANCIS TURCAN
12e journée. Martigues (8) – Bayonne (19). Arbitres: M. Schmitt assisté de MM. Dolmadjian et Simon.
Martigues: L’Hostis (g), Vanni (g) – Di Maria, Nicodème, Mezague, Belloumou, Nianzi, Ponge – Bertin, Freitas, Lafon, N’Zinga – Descamps, Bourgeois, Biakolo, Himmes. Les absents: Ahamada (convalescence), Chavas (cuisse), Posteraro (suspendu), Dumortier, Abbes, Guendouz, Stinat, Legras, De Magalhaes, Bochu, Renaut. Entraîneur: Jérôme Erceau.
Bayonne : Duhour – Soubervie, Touré, Bidegain, Chort – Elissalde, Tunani, Famery, Serra – Diafutua, Audinet. Remplaçants: Lesca (g), Guillou, Giron, Tunani, Lamothe. Entraîneur: Alain Pochat.

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12 octobre 2011 3 12 /10 /octobre /2011 16:38

Pour tous les supporters de l'Aviron qui ne seront pas dans les travées de Francis Turcan, et qui veulent suivre la rencontre de la 12ème journée, vous pourrez retrouver l'intégralité de la rencontre commentée sur Radio Maritima ! Manuel Danloy, qui suit le FC Martigues depuis de nombreuses années, sera au micro, en compagnie de différents intervenants, pour vous faire suivre au mieux le déroulé du match !

CLIQUEZ ICI POUR ECOUTER RADIO MARITIMA !

A suivre ce soir en direct à 20h00

Logo du Football club de Martigues     

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11 octobre 2011 2 11 /10 /octobre /2011 19:50

C'est déjà mercredi

FC Martigues - Aviron Bayonnais FC

Mercredi 12 Octobre - 20h00

Stade Francis Turcan

 

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11 octobre 2011 2 11 /10 /octobre /2011 12:49

“Sur le terrain et dans la vie,

les gens doivent apprendre à se connaître”

L’Aviron Bayonnais a quitté la dernière place du classement après sa victoire face à Nîmes samedi à Bayonne. Un deuxième succès cette saison, après une première victoire en championnat une semaine plus tôt au Red Star, lors de la dixième journée. Demain, c’est à Martigues que les Bayonnais vont évoluer à l’occasion de la 12e journée. Un déplacement lors duquel ils ne s’interdisent rien. “On va mercredi à Martigues pour gagner. On ne se pose pas de question”, indique Alain Pochat, l’entraîneur de l’Aviron.

A en croire la courbe des résultats des Basques, leur saison a véritablement commencé depuis un peu plus d’une semaine. En souffrance en terme de résultat pendant neuf journées, Bayonne vient d’enchaîner deux succès très importants puisque cela leur permet de revenir à trois points du premier non relégable, le Paris FC.

Voir Bayonne évoluer en National est un exploit permanent au regard des moyens du club. “On est les plus petits, et de loin. Même le Red Star monte à 1,8 million d’euros de budget rien que pour l’équipe une. Nous, c’est 800 000 euros pour tout le club”, rappelle Alain Pochat. Pour arriver à se maintenir au troisième niveau français dans ces conditions, il est évident que les Bayonnais ne peuvent pas compter sur des joueurs surdoués, beaucoup trop chers.

Phase de préparation

“On vit dans une époque où il faut être performant tout de suite”, juge Alain Pochat. “On ne laisse pas le temps à quiconque de mettre des choses en place. Quand on a une quinzaine de joueurs qui partent à l’intersaison, que les joueurs recrutés au début l’étaient pour évoluer en CFA, qu’il a fallu recruter d’autres joueurs qui sont arrivés au compte-gouttes, il faut le temps de faire fonctionner tout ça. Les gens doivent apprendre à se connaître. Pas uniquement sur le terrain mais dans la vie. Ce week-end, à l’hôtel où on va à chaque préparation d’avant-match à domicile, la directrice de l’hôtel qui nous connaît depuis des années m’a fait cette réflexion : ‘Je sens le groupe qui vit bien, contrairement au début de saison ou tout le monde était un peu éparpillé’. C’est aussi le fruit de trois mois passés ensemble. Tout le mois d’août a servi à se préparer tout en jouant la compétition”.

Lorsque Bayonne a trouvé cette cohésion, l’équipe est alors capable de splendides performances comme samedi face à Nîmes, son budget de 8 millions d’euros et son effectif uniquement constitué de professionnels. “C’était un très bon match de notre part en prenant pourtant un but sur la mise en jeu. Quand on connaît l’adversaire que l’on a en face, ça pouvait paraître compliqué, mais les joueurs se sont accrochés, ils n’ont pas baissé les bras. C’est dans la lignée de ce qu’on a fait depuis quelques matchs. On a eu le ballon, on a bousculé cette équipe qui restait sur sept matchs sans défaites”, raconte avec fierté le technicien bayonnais.

L’Aviron ne “s’affole pas”

A quoi doit-on s’attendre désormais avec l’Aviron Bayonnais dans ce championnat National ? “On a des super-gars. Un très bon groupe”, indique Alain Pochat. “Les joueurs montent leur niveau au fil des matchs. Ils sentent qu’ils peuvent bousculer des équipes ‘supérieures’. Mais tout ça reste quand même très fragile. On n’a pas le choix. Le club connaît ses limites. On aurait 8 millions sur la table, on n’aurait pas attendu la dixième journée pour gagner. Nous, c’est du bonus d’être en National. On bataille avec nos armes, on sait que chaque année, ce sera compliqué. L’expérience des quatre années passées en National fait que l’on ne s’affole pas”.

Effectivement, il reste beaucoup de chemin à parcourir dans ce championnat de National avec 26 journées à disputer. Tout peut encore se passer pour Bayonne. Le meilleur, avec une nouvelle fois le maintien au bout, ou le pire, avec une descente en CFA. “De toute façon, si on doit descendre, on descendra, ce n’est pas le souci. Mais on va tout faire pour voir des joueurs se faire plaisir, avoir une cohérence en terme de jeu sur le terrain. Aujourd’hui, on en récolte les fruits. Ça va quand même être long”, estime l’entraîneur bayonnais qui regardera le classement une fois la dernière journée disputée.

Marc Dufrêche - Le Journal du Pays Basque (Mardi 11 Octobre)

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10 octobre 2011 1 10 /10 /octobre /2011 07:39

Un succès de prestige  

nimes 1520 

 

 

 

 

 

 

                           

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Avec cette seconde victoire (2-1) d'affilée, l'Aviron a quitté la dernière place avant un match à Martigues mercredi soir.

Après cinq rencontres infructueuses à domicile (un nul et quatre défaites), l'Aviron Bayonnais a enfin décroché son premier succès à Deschamps, 2-1 face à Nîmes. Samedi soir, le vestiaire Basque pouvait résonner de nombreux cris de joie et d'un sentiment de fierté du devoir accompli.

Car c'est un succès de prestige obtenu contre Nîmes, une formation ambitieuse avec de nombreuses qualités offensives et qui s'était mis dans le bon sens de marche après trois minutes de jeu : « Après ce premier but encaissé et après tout ce que nous avions mis en place dans la semaine, je me suis dit que nous étions très mal embarqués », expliquait Alain Pochat après la rencontre.

« Mais les joueurs se sont prouvés qu'en s'accrochant, ce qu'on mettait en place pouvait porter ses fruits. On est resté concentré jusqu'au bout. Je ne peux qu'être fier de mes joueurs ce soir. »

Giron décisif

Menés d'entrée de jeu, les coéquipiers de Michel Bidegain ont renversé les Crocos en deux temps. « On a montré une grande force de caractère car en encaissant ce but rapidement, on a vite été dans le dur », indiquait Jordan Chort, auteur du but égalisateur sur le penalty obtenu peu après l'heure de jeu. « Ce n'était pas prévu que ce soit moi qui le frappe mais Antho (Soubervie) venait de sortir. J'ai pris mes responsabilités. C'est très bien de valoriser notre victoire au Red Star », expliquait radieux le latéral gauche Bayonnais.

Après avoir plus ou moins maîtrisé le ballon avec l'aval des joueurs Nîmois jusqu'à l'heure de jeu, l'entrée de Steven Giron a profondément changé la physionomie de la partie. De la percussion, du mouvement, de la disponibilité, le milieu offensif Basque a montré la voie et tous ses partenaires s'y sont engouffrés. À l'image du deuxième but inscrit par Jonathan Famery servi par Giron. Tous ont fini sur les rotules : « On a respecté ce qu'on avait prévu de faire », a ajouté Jordan Chort, « on a tiré la langue pour résister jusqu'au bout, notamment moi qui ait plus l'habitude de rentrer en cours de jeu mais on ne s'est pas accroché pour rien. » Et dire qu'il faut remettre ça dès mercredi soir à Martigues…

Jakes Debounco - Sud Ouest (Lundi 10 Octobre 2011)

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9 octobre 2011 7 09 /10 /octobre /2011 08:33
 L'Aviron décolle  Diafutoa à la lutte avec Piocelle. photo J.D chopin

Mal embarqués, les Bayonnais s'imposent en seconde période et quittent la dernière place.

On peut difficilement entamer une rencontre pire que ça ! Le chronomètre est déclenché depuis cent-vingt secondes que le Nîmois Kone a déjà ouvert le score pour les siens d'une frappe limpide à ras de terre, hors de portée de Duhour (3e, 0-1). En oubliant de venir presser le porteur du ballon, pourtant meilleur buteur du National avec huit réalisations, l'Aviron Bayonnais s'est planté une belle épine dans le pied ! Mais alors qu'on pouvait penser que cette ouverture du score aurait irrémédiablement miné les esprits des joueurs Basques, déjà mal engagés en terme comptable en championnat, il n'en sera rien.

Faux rythme

L'Aviron va d'abord prendre les commandes du match, bien aidé il est vrai par une certaine suffisance des joueurs Gardois. Avant le retour aux vestiaires, le gardien visiteur Al Shaibani va ainsi devoir s'employer à trois reprises pour préserver l'avantage des siens. Une première fois en sortant dans sa surface aux devants de Teixeira (13e), une seconde fois en repoussant des deux poings le coup franc de Soubervie (31e) et une dernière fois en stoppant de manière aérienne la frappe enroulée de Serra (37e). En face, Duhour aura eu un semblant de frisson sur une frappe magnifique de Haguy (26e) mais finalement les deux équipes rentrent aux vestiaires dans la configuration dessinée au bout des trois minutes de jeu initiales.

Les Gardois reviennent sur le pré dans le même faux rythme, permettant aux Bayonnais de rester dans la partie dans un premier temps. Et d'accélérer dans un second temps avec les entrées en jeu de Guillou et du feu follet Giron.

Bayonne s'enhardit

Attentistes, les visiteurs jouent avec le feu, tout comme la trentaine de ses supporters avec des fumigènes. Et finit par se brûler. C'est d'abord Chort qui prend ses responsabilités en allant transformer un penalty accordé pour une main de Carlier dans sa surface sur une reprise de Bidegain (67e, 1-1). L'Aviron s'enhardit et manque de mener au score sur une frappe de Famery bien servi par Giron (68e). Ce n'est que partie remise.

Après une parade exceptionnelle de Duhour sur une frappe déviée de Parpeix (71e), le duo Giron-Famery se faufile et transperce en plein cœur la défense Gardoise : le premier glisse au second qui évite astucieusement la sortie du gardien Canadien pour marquer dans les buts vides (73e, 2-1).

La tribune Deschamps donne de la voix et les joueurs Bayonnais terminent la rencontre comme des morts de faim. Les Nîmois se remettent à jouer de l'avant mais un poil trop tard. Et Duhour sauve les siens dans le temps additionnel en plongeant dans les pieds de Parpeix (93e). Les joueurs Bayonnais confirment leur succès au Red Star la semaine passée, tiennent leur match référence cette année et quittent la dernière place ! Que demander de plus ?

Jakes Debounco - Sud Ouest (Dimanche 9 Octobre 2011)

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Bayonne 72' But Famery
Bayonne 67' But Chort sur penalty
Nimes 2' But Koné

Les équipes du matchs

JOUEURS
1 Ximun Duhour Gar
14 Jordan Chort57' 67' Def
17 Anthony Soubervie62' Def
- Cheick Touré Def
6 Michel Bidegain Mil
- Rémi Elissalde Mil
- Jonathan Famery73' Mil
7 Jérôme Lalanne Mil
- Olivier Serra Mil
- Gauthier Diafutua45' 77' Att
- Yannick Texeira Barbosa54' Att
REMPLAÇANTS
2 Cyril Guillou62' 88' Def
- Kévin Tunani77' Mil
19 Steven Giron54' Att
ENTRAINEUR
- Alain Pochat

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JOUEURS

1 Haidar Al-Shaibani Gar
20 Vincent Carlier Def
18 Benoît Poulain Def
3 Maxime Poundje 31' 76' Def
5 Miodrag Stosic Def
23 Emmanuel Corrèze Mil
- Mouri Ola Ogounbiyi Mil
6 Jonathan Parpeix Mil
4 Sébastien Piocelle 76' Mil
24 Steve Haguy Att
12 Seydou Koné 3' 62' Att
REMPLAÇANTS
19 Moussa Sidibé 76' 91' Def
10 Nicolas Benezet 62' Att
27 Issouf Ouattara 76' Att
ENTRAINEUR
- Thierry Froger

 

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8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 19:35

 

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8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 12:24

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8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 08:20
« C'est un club qui me ressemble »

Jonathan Famery est le dernier joueur à avoir rejoint les bords de la Nive.

L'Aviron Bayonnais a enfin obtenu son premier succès la semaine dernière au Red Star (2-1). Une victoire qui fait du bien autant sur le plan comptable que psychologiquement. « On avait déjà fait un bon match contre Rouen qui ne joue pas dans la même catégorie que nous » indique Jonathan Famery, le petit dernier à avoir posé ses valises sur la Côte Basque il y a tout juste un mois.

« Là, on gagne logiquement au Red Star. Il faut un peu de temps pour que tous les joueurs apprennent à se connaître mieux, sachent comment tout le monde fonctionne. Ça va marcher, je ne suis pas inquiet sur ce plan-là. »

Les classes au PSG

Né à Lyon il y a 23 ans, ce jeune milieu de terrain qui a fait ses classes très tôt au PSG en passant par les centres de pré-formation et de formation, a débuté également très jeune en National à Louhans-Cuiseaux.

« J'ai débarqué là-bas en 18 ans Nationaux et la deuxième année, je jouais avec l'équipe première. Ensuite, Rudy Garcia, le coach de Dijon qui évoluait en L2 à l'époque, me fait venir pour signer mon premier contrat professionnel. » Mais ça ne se passe pas trop comme prévu en Bourgogne où Jonathan ne va jouer qu'une quinzaine de matchs en championnat et quelques autres en coupes. « Rudy Garcia a quitté le club pour Le Mans et je n'ai pas eu la confiance du nouveau coach » explique le néo-Bayonnais. « J'y suis resté deux ans mais après, il est difficile de rebondir et de trouver un autre club après avoir signé un contrat pro. »

Jonathan va rentrer sur Paris, joué en CFA à Sannois avant de rebondir à Gueugnon l'an dernier où la saison s'est terminée en eau-de-boudin pour le club et les joueurs. « On a fini de jouer fin avril. De mon côté, j'ai continué de m'entraîner avec Créteil et cet été, j'ai suivi une préparation physique pour rester en forme. »

Deux objectifs

Avec ce préparateur qu'il surnomme « Pat », « plusieurs nombreux autres joueurs à la recherche de clubs se préparent avec lui », le milieu Bayonnais va d'ailleurs croisé la route de Gauthier Diafutua qu'il retrouve à l'Aviron : « J'ai finalement opté pour Bayonne car j'ai trouvé ici une ambiance identique à celle de Louhans et Gueugnon et ça me ressemble. Les joueurs du club sont soudés, on tend tous vers le même objectif, et on se bat avec nos valeurs. »

Nîmes ne lui fait pas peur, pas plus que les autres équipes : « C'est sur que les Nîmois veulent vite remonter en L2 et que sur le papier, ils sont plus expérimentés que nous mais on a vu que dans ce championnat, tout est possible » admet le joueur Bayonnais.

« Il faut que l'on soit déterminé, qu'on se donne à fond sur le terrain. Je pense qu'on a les moyens de faire encore mieux. »

Jonathan Famery s'est fixé deux objectifs. Le premier cette année, il compte bien réaliser une meilleure saison en chiffres (2 buts, 9 passes décisives) que celle de l'an dernier : « Je dois créer du danger, effacer les adversaires, provoquer, être efficace et apporter ce plus à l'équipe. » Le second est plus secret. Il compte bien l'atteindre à 25 ans. S'il y arrive, l'Aviron Bayonnais ne devrait pas être trop loin du maintien.

Jakes Debounco - Sud Ouest (Samedi 8 Octobre 2011)

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